L’amour au téléphone > Le plus hot : l’amour au téléphone

Il n’est pas toujours facile d’échauffer un homme. Poids de la société, peur du ridicule, peu d’entre nous osent vraiment prendre les choses en main. Le téléphone est pourtant un bon moyen de faire monter la pression. Encore faut-il savoir comment procéder. Voici nos conseils, des plus softs aux plus hots.



  • Le principe
A un moment calme, où chacun pourra prendre son temps ( la pause déjeuner par exemple), vous passez un coup de fil à votre partenaire , dans une pièce isolée. Et là, vous lui racontez ce que vous avez envie de lui faire, avec menus détails et langoureuses descriptions. Le but du jeu est d’amener chacun à se masturber pendant la conversation et ce –dans le meilleur cas- jusqu’à la jouissance.

  • Pour qui
Pour les moins pudiques, qui n’ont pas honte de dire qu’elles se livrent à l’onanisme et laissent entrevoir sans complexe leur respiration lors de la masturbation.

  • A faire
Il faut autant écouter l’autre que soi-même. C’est un véritable échange lors duquel les deux partenaires s’excitent mutuellement. C’est la condition sine qua non pour que la magie opère.

  • A ne pas faire
Evitez d’aller directement droit au but. Faîtes mine d’appeler « comme ça », puis dîtes que vous avez chaud, par exemple. Emmenez progressivement votre homme sur le terrain glissant de l’érotisme , mais ne cassez pas tout en étant trop trash ou trop directe. Laissez monter la pression progressivement, cela vous plaira beaucoup plus.

  • Avantages
Cette pratique permet, dans le meilleur des cas, de jouir ensemble. Se masturber en écoutant la respiration du partenaire qui fait de même semble un merveilleux échange amoureux . Cela nécessite toutefois un peu de pratique.

  • Inconvénients
Il faut que chacun des partenaires dispose de temps et d’une pièce –vraiment- à l’abri des regards. Pas toujours facile à trouver en pleine semaine de travail.


Potentiel érotique : 9/10 : terriblement excitant, le Sex Phone peut faire des merveilles pour raviver le désir.


Suite de l'article >

L’amour au téléphone > Plus érotique : les MMS

  • Le principe
On connaît le pouvoir que peut avoir la lingerie sur un homme. Servez-vous en pour aguicher monsieur l’air de rien. En plein après-midi, alors que vous êtes loin de lui, envoyez-lui une photo des sous-vêtements que vous portez ou d’une partie de votre corps, qu’il doit deviner. Comme au musée, Monsieur pourra regarder, mais n’aura pas le droit de toucher. Et qui dit frustration dit désir . Effet garanti.

  • Pour qui
Pour celles qui ne sont pas complexées par leur corps et n’excellent pas dans le verbiage.
Et si vous n'aimez pas l'image que vous renvoit votre miroir, essayez ces exercices de sport


  • A faire
Choisissez une lingerie vraiment sexy . Pas la peine de se livrer à une telle pratique si vous portez des bas de laine. Jouez aussi avec les illusions d’optique : le pli de l’aisselle, lorsqu’il est photographié de près, ressemble à s’y méprendre à un sexe féminin. Surprenez votre homme, montrez-lui que vous tenez les rênes et qu’il ne verra certains parties de votre corps qu’après moult supplications.

  • A ne pas faire
Ne faîtes pas cela avec n’importe qui. Le sexting (fait d’envoyer de portable à portable des photos dénudées de soi à un homme) peut s’avérer dangereux lorsqu’on s’y livre avec un inconnu. De la revente de la photographie aux sites pornographiques à la bonne boutade entre copains, toute trace photographique est dangereuse. Assurez-vous donc de bien connaître votre homme avant de lui livrer cette intimité.

  • Avantages
Très caliente, le sexting permet de dévoiler, de frustrer, tout en faisant fonctionner la vue et –d’autant plus si on y joint un message écrit- l’imagination.

  • Inconvénients
Avec cet échange de MMS, l’appel des sens est tout de même limité : seule la vue est utilisée.


Potentiel érotique : 6/10 : même si les photos sexy font leur petit effet, on est encore loin de l’érotisme parfait.

Suite de l'article >

L’amour au téléphone > Le plus soft : les textos

  • Le principe
Il s’agit d’ expliquer à notre homme ce qu’on aurait envie de lui faire là, maintenant, tout de suite. Ou, encore mieux, de faire monter la pression tout au long de la journée, en lui décrivant ce que l’on compte lui faire le soir, après le travail. Emoustillé, notre partenaire devrait avoir hâte de nous voir, à condition de ne pas transformer nos propos et passer pour une porn star .

  • Pour qui
Les plus timides . Celles qui n’osent pas dire les choses , mais se lâchent plus facilement par écrit.
Vous pensez dire tout ce que vous pensez ? Faites notre test " Quelle pudique êtes-vous " pour le vérifier

  • A faire
Dîtes ce que vous pensez réellement . Essayez tout de même de vous forcer à détailler. Faîtes parler tous vos sens : l’odeur, le goût, et tout ce qui peut vous inspirer. Au début, c’est difficile de se lancer, mais avec un peu de culot, vous réussirez à peindre un tableau parfait de la scène dont vous rêvez. N’hésitez pas non plus à faire durer le suspense, si vous en avez le temps, en y allant progressivement. La scène peut durer de l’effeuillage jusqu’à la jouissance .

  • A ne pas faire
N’en rajoutez pas. Si votre homme fleure le fait que vous jouez un jeu, le charme sera rompu et, dans le pire des cas, n’étant pas habitué à de tels élans passionnels, il pensera que vous vous moquez de lui et sera tout refroidi.

  • Avantages
Comme on écrit les choses, on se livre plus facilement. On ose employer des mots qui nous feraient bafouiller si on devait les oraliser. Et avec un peu d’habitude, à force de se rendre compte que notre homme les apprécie, on osera peut-être les dire en vrai !

  • Inconvénients
Il y a plus érotique que des messages écrits, assez froids, dans lesquels on ne perçoit ni la respiration de l’autre, ni l’impact que les textos ont sur le partenaire. De plus, le temps de latence entre chaque message peut faire retomber la pression, malgré tous nos efforts.

Potentiel érotique : 5/10 : les textos font merveilleusement fonctionner l’imagination, mais laissent de côté les sens. Excitante au début, cette pratique finit par s’essouffler, pour laisser place à quelque chose de plus osé : les MMS ou l’amour en live, au téléphone.

Sexe : la fréquence est-elle importante ?

Trois fois par semaine ou trois fois par mois… la sexualité ne devrait pas être affaire de comptabilité. Pourtant, tiraillés entre ce que nous croyons être « normal » et ce que nous vivons, nous en arrivons parfois à ne plus faire confiance à nos désirs.

Sommaire
· Se rassurer et rassurer l’autre
· Guérir nos blessures
· Se poser les véritables questions
· Combien de fois?
« Mon mari et moi, mariés depuis neuf ans, avons une vie sexuelle très agréable. Nous faisons l’amour de façon très intense et très satisfaisante, mais pas très fréquente. Deux ou trois fois par mois. Or, quand je regarde autour de moi, quand j’écoute mes amis ou quand je lis la presse, j’ai l’impression d’être anormale. Pouvez-vous me dire quelle est la moyenne des rapports sexuels dans un couple normal ? »
Cette question, reçue au journal, nous a interloqués. Les diktats sexuels sont-ils devenus tels qu’un couple heureux puisse douter de son propre épanouissement ? « C’est “la” question que posent la plupart des patients dans tous les cabinets de sexologie, témoigne le sexothérapeute Alain Héril. “Comment font les autres ?” Sous-entendu : “Suis-je normal ?” Aujourd’hui, la différence entre la sexualité médiatique et la sexualité individuelle est telle qu’elle devient source de culpabilité. »
En la matière, la notion de fréquence prend une acuité essentielle. Carole, 28 ans, onze ans d’amour et cinq de vie commune : « Ce sujet est au cœur de nos discussions… Mon compagnon se fie aux sondages et aux récits de ses amis hommes, qui assurent tous avoir un minimum de deux à trois rapports sexuels par semaine, et s’interroge sur ma libido, “paresseuse” selon lui. Pourtant, je suis très épanouie, même avec un rapport par semaine en moyenne, et je suis intimement persuadée que je ne suis pas la seule dans ce cas. »

Se rassurer et rassurer l’autre
Cette incessante recherche de la normalité est récente. Par le passé, l’information sexuelle étant profondément taboue, il n’y avait aucun moyen de comparer la fréquence moyenne des rapports dans les couples. En outre, celle-ci était largement gouvernée par la crainte de la grossesse. La libération sexuelle a eu pour conséquence de désinhiber la parole, mais l’afflux d’informations brouille nos ressentis. « La sexualité, ce n’est pas du copier-coller, explique Alain Héril. Ce n’est ni faire comme le voisin, ni faire comme la dernière fois. La sexualité est d’abord un dialogue : elle est mouvante, se nourrit de surprise et d’inattendu. Elle est génitale, hormonale, mais elle est avant tout émotionnelle : elle s’enrichit de la rencontre avec l’autre.
Si on est dans le “il faut” (“Je n’ai pas fait l’amour depuis trois semaines, il faut donc que je me force ce soir”), on n’est plus dans le désir mais dans l’obligation, dans l’auto-injonction. » Cela ne signifie pas qu’il n’y aura pas de plaisir ni d’orgasme. Mais si notre envie de faire l’amour n’est rien d’autre qu’un besoin de décharger une tension nerveuse, l’autre devient un objet masturbatoire. Il n’y a pas de rencontre.
Cette inquiétude de ne pas faire assez l’amour se nourrit également de la crainte de ne pas être à la hauteur. « Certains hommes, explique la sexologue Catherine Solano, ont besoin de preuves pour se rassurer sur leur virilité. Ils cherchent donc à se raccrocher à tout ce qui peut être “mesurable” : la taille de leur sexe, la fréquence de leurs rapports, leur durée… Lorsqu’elles comprennent, inconsciemment, qu’elles ne sont pas désirées pour elles-mêmes, leurs partenaires ne peuvent que refuser cette sexualité où elles n’ont pas leur place. Mais certaines femmes sont parfois également en attente de preuves : faire l’amour leur permet de se sentir désirables et désirées. »
C’est le cas de la femme d’Alex, 38 ans. Il raconte : « J’ai un boulot stressant, et, du coup, ma libido est souvent parasitée par un certain nombre de choses. Cela ne me dérange pas outre mesure de ne pas faire l’amour souvent. Mais si je laisse passer un trop grand laps de temps sans lui faire l’amour, ma femme s’inquiète.Elle s’imagine que je l’aime moins. Elle m’a même soupçonné d’avoir une maîtresse… Elle a besoin du sexe pour être rassurée sur mes sentiments pour elle. Donc, deux ou trois fois par mois, je me force un peu pour qu’elle ne s’inquiète pas. »

Guérir nos blessures

Bien sûr, il faut entendre dans les demandes d’amour des histoires personnelles qui s’entremêlent. Liens douloureux dans l’enfance, complexes physiques, mauvaises expériences antérieures, narcissismes blessés… tous nourrissent une peur de l’abandon et du non-amour qui cherche à être contredite dans la relation sexuelle.
Ainsi, après un premier mariage malheureux, Florence, 49 ans, avoue son besoin de réassurance : « Peut-être est-ce dû aux leçons que j’ai tirées de ma vie conjugale antérieure, mais je suis extrêmement attentive à la fréquence de nos rapports sexuels. D’abord, parce que c’est un moment magique. Ensuite, parce que, au-delà du plaisir physique, c’est un moment de grande tendresse et d’intimité. Enfin, c’est pour moi l’assurance que mon ami me désire. Cela me rassure sur la pérennité de notre relation, peut-être. Ou sur mon pouvoir de séduction à l’approche de la cinquantaine. Tout cela en même temps, sans doute… » Le sexe devient alors la vérification que l’autre vous aime.
« Ce que j’entends dans mon cabinet, raconte Alain Héril, ce sont des femmes qui me disent : “Le seul moment où j’ai de la tendresse, c’est quand il a envie de sexe”. » Quand il n’y a pas de tendresse dans le couple, pas de toucher, pas de peau à peau régulier, l’acte sexuel devient le moyen d’en obtenir. « Le mot “tendresse” vient du verbe “tendre” : je tends vers l’autre, j’accepte d’aller vers lui et que lui vienne vers moi. La tendresse, comme la sexualité, est un type de dialogue en soi. Quand le couple évolue dans un monde de tendresse naturelle, une faible fréquence des rapports sexuels est bien vécue », conclut le sexothérapeute.
Après vingt-sept ans de vie commune, Agnès et Jacques, 54 et 56 ans, en témoignent : « Notre rythme est très fantaisiste, plus ralenti qu’autrefois, certes : nous sommes moins gourmands mais plus gourmets. C’est pourquoi compter nos rapports sexuels en nombre de pénétrations nous paraît inintéressant. Prendre plaisir à dormir blotti dans les bras de l’autre après toutes ces années, nous caresser, nous embrasser, continuer à avoir besoin de la peau de l’autre, tout cela nous semble mille fois plus important qu’une statistique pénétration-éjaculation-jouissance mensuelle ! »
Pascal, 58 ans, marié depuis trente ans, mise lui sur la parole : « Après toutes ces années, la fréquence de nos rapports n’est pas primordiale, car elle est irrégulière, variant en fonction de notre état de fatigue et de stress, ou tout simplement de notre libido. Mais elle est importante. Faire l’amour nous semble nécessaire à l’équilibre du couple mais, surtout, renforce notre amour et nous prouve que nous nous plaisons encore et que nous avons encore envie de nous donner du plaisir. Et parler de nos envies, désirs et fantasmes réciproques, ainsi que de nos manques et frustrations éventuels fait partie de notre quotidien. »

 

Se poser les véritables questions

Tous les sexologues admettent que parler de soi est essentiel. A condition de ne pas confondre information et communication, prévient la sexothérapeute Ahlam Fennou : « Dans certains couples, le véritable échange se perd parce que, justement, on croit l’instaurer en parlant. Or, de quoi parle-t-on ? De ce qu’on a lu, de ce qu’on a entendu, de ce qu’on voudrait faire…
Mais les véritables questions – est-ce important pour moi de faire l’amour ? Pourquoi ? Quel plaisir ai-je envie de partager avec l’autre ? Que sais-je de ses envies ? –, on ne se les pose pas parce qu’on n’a pas appris à y répondre. » « Il est tellement plus facile, enchaîne Catherine Solano, de s’appuyer sur des chiffres ou des comparaisons. Cela nous place sur le terrain de la revendication – “Tu vois, les autres font comme ceci ou comme cela… eux” – et non sur celui de l’intimité. »
Mélanie, 40 ans, refuse de compter : « Avec cet homme-là, le langage des corps m’a ouvert les portes de la vraie communication. Jamais je n’étais allée aussi loin dans l’échange. La fréquence varie au gré de notre fatigue, de nos préoccupations, de nos absences, mais un regard partagé, un geste tendre suffit toujours à nous reconnecter à notre amour, même si on n’a pas, à ce moment précis, le temps, l’envie ou l’opportunité de faire l’amour. Alors, “Combien de fois par mois ?” est une question qui n’a strictement aucune importance. » Se faire confiance à soi plutôt qu’aux autres… La sexualité est une forme de créativité, une danse à deux où la notion de rythme s’estompe. Elle devrait importer autant que les autres formes de dialogue du couple. S’interroge-t-on sur le nombre de fois où l’on a ri avec l’autre la semaine dernière ?

 

Combien de fois?

Entre neuf et treize fois par mois (soit deux à trois fois par semaine) est la fréquence avouée par les Français, quel que soit leur âge et celui de leur couple. Mais que déduire de ces chiffres, sachant que ces statistiques, basées sur la moyenne mensuelle, rassemblent aussi bien ceux qui font l’amour trois fois par semaine que ceux qui, après quinze jours d’abstinence, passent tout un dimanche à s’aimer ?
De plus, la question de la fréquence des rapports reste un sujet relativement tabou et les réponses sont souvent dictées par l’angoisse de ne pas être « normal ». Dans une étude consacrée à la sexualité des Français, le sociologue Michel Bozon démontre que, s’il y a une activité sexuelle soutenue au cours des deux premières années de vie commune (treize rapports sexuels par mois), une stabilisation se produit autour de neuf rapports mensuels à partir de cinq ans d’ancienneté du couple. Une moyenne qui varie en fonction des étapes traversées par le couple : mariage, naissance d’un enfant, âge, stress professionnel,
maladie, etc.

Les 10 posters de sexe préférés des femmes

Le triangle torride
La femme est allongée sur le dos et l’homme est à quatre pattes au dessus. C’est elle qui soulève le bassin pour se mettre au niveau de son pénis. L’homme reste immobile tandis que la femme s’accroche à lui pour monter et descendre.

la bombe à retardement
L’homme est assis sur une chaise et la femme s’assied sur lui, de face, et pose les pieds au sol. Elle place le pénis de son partenaire à l’entrée de son sexe et le fait pénétrer centimètre par centimètre.

Totem et tabou
L'homme est assis, jambes croisées. La femme l'enfourche, enroule les jambes autour sa taille et pose les pieds contre ses fesses. L'homme ne la pénètre que lorsqu'ils sont bien accrochés l'un à l'autre puis ils se balancent d'avant en arrière.

Au pied du mur
La femme est debout, contre un mur, les jambes légèrement écartées. L'homme lui saisit les cuisses et la soulève doucement. La femme l'aide en s'appuyant franchement contre le mur.

C’est si bon
La femme s’installe sur une surface dure qui arrive au niveau des hanches de l’homme. Elle fait un strip-tease, s’assied, fait s’approcher l’homme et accroche ses jambes à son cou. Elle s’étend en arrière, laisse ses fesses dépasser dans le vide, écarte les cuisses et se fait pénétrer.

Les 10 posters de sexe preferes des femmes (suite)

le Super G !
La femme est à quatre pattes et l'homme la pénètre en la tenant par les hanches. Ses testicules frottent et frappent les fesses de celle-ci.  

Tigre et dragon
La femme se met à quatre pattes, en posant ses genoux au bord du lit. L'homme emprisonne les mollets de celle-ci entre ses jambes. Lorsqu'il la pénètre par-derrière, elle serre ses genoux l'un contre l'autre.

Rockn’roller
La femme, allongée sur le dos, bascule ses jambes vers l'arrière et pose ses jambes sur les épaules de l'homme au moment où il se penche pour la pénétrer. Il s'accroche aux hanches de sa partenaire, qui se cramponne à ses bras.
Le cadenas
Position spéciale comptoir de cuisine : les fesses au bord de la table, la femme attire l'homme avec ses jambes pour qu'il la pénètre. Elle vérouille ses jambes dans le dos de son partenaire et le dirige par une pression des pieds sur ses fesses.

Le Bateau ivre
L'homme s'assied sur un fauteuil solide, écarte les jambes. La femme s'assied sur lui, pose ses pieds de chaque côté du fauteuil et agrippe le dossier. Elle tire sur ses bras pour monter et descendre le long du pénis.